À propos de moi
Bonjour, Bienvenue à mon atelier.
Je suis MarieAnne, une créatrice,
une expérimentatrice,
une conteuse d'histoires visuelles

Moi ?
Une lectrice, une buveuse de thé lapsang souchong, une amoureuse de paysages aquatiques et du soleil (et ne me faites pas parler de chocolat).
Mon atelier ?
A Grenoble, au cœur des Alpes françaises, mon pays d'adoption
D'où suis-je ?
Réponse courte - Du milieu de l'Atlantique
Réponse longue - Combien de temps avez-vous ?
Des Langues?
L’anglais, l’espagnol, le português, le français
Des Influences Culturelles ?
Commençons par maman colombienne et papa anglais. J'ai vécu en Colombie, au Brésil, en Argentine, aux États-Unis et actuellement à Grenoble, en France
=> Influences indéniables dans mes pièces
Des Etudes ?
Beaux-Arts à Florida Southern College
Master en Beaux-Arts de University of South Florida
Orthographe ? Quoi ? C’est une blague ?
Non – en anglais je n'ai pas d'orthographe cohérente. J'ai été scolarisé dans le système britannique, puis changé pour celui américain, donc il y a des mots qui seront orthographiés dans l'un ou l'autre ou les deux! C'est juste ma vie
Ma devise ?
« APPRENDRE N'ÉPUISE JAMAIS L'ESPRIT. » Leonard de Vinci

Le cyanotype - mon dialogue avec un pinceau, les plantes, le soleil et l'eau

La photographie alternative, tirages solaires uniques et originales
L'art qui dépend de la météo - le soleil et la force des UV pour terminer ce que l’on commence.
Utiliser les plantes environnantes avec lesquelles créer des marques uniques.
Tout à fait ce que j'aime. Faire des choix et laisser le soleil faire sa part pour terminer la pièce. Une très belle sensation
La marbrure - le dialogue de ce que la main commence et l'eau termine.
Un Voyage à travers l'Eau où la ‘toile est l’eau’
Chaque pièce est créée en déposant délicatement des gouttes de peinture à l’aide de pinceaux, des compte-gouttes ou des fouets sur une cuve remplie d'eau épaissie.
Au lieu de couler ou de se mélanger les unes aux autres, les couleurs flottent et s'étalent jusqu’à se toucher.
Les gestes techniques rencontrent l'imprévisibilité du mouvement de l'eau.
Le stylet alors devient un crayon ou pinceau qui déplace la peinture.
Le papier ou le tissu est placé délicatement sur le bain, et en quelques millisecondes, les pensées de l’artiste sont transférées de l’eau pour créer une pièce unique.